Pourquoi avoir le ce livre ?
Une fois n'est pas coutume, j'ai demandé un service de presse pour ce livre après avoir reçu un message électronique publicitaire qui décrivait le roman comme ci-dessus.
Merci à l'agence RuGicomm pour cet envoi !
Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture :
Nouveauté: Voir description en bas ... cette section est vouée à disparaître !
Ce que j'en ai pensé :
J'étais prévenue qu'il s'agissait d'un mi-conte, mi-roman. Pendant les 4/5ème de ma lecture, je n'y ai vu qu'un sympathique petit roman avec des personnages attachants et puis j'ai compris la notion de conte vers la fin avec un personnage énigmatique et une fin douce et optimiste (mais je ne peux pas tout te dire, quand même, cher toi !).
Cette histoire prend place, à la fin de la seconde guerre mondiale, dans un petit coin de pays Québécois proche de la capitale. On y suit Irène, une ex-prostituée, Louis, un orphelin adolescent, Nelly, un ex-bagnard qui se rencontrent dans un orphelinat qui est sous la direction d'une sœur particulièrement odieuse. On va suivre ces trois personnage et leurs histoires respectives mais surtout les histoire de Louis et Irène, ces deux personnages esseulés qui vont s'attacher mutuellement l'un à l'autre comme à une bouée de secours.
C'est un roman léger qui se lit vite et bien. La prose est sympathique car elle introduit de la parlure québécoise qui dynamise le récit et le rend chantant/vivant (par contre, petit aparté, j'ai trouvé assez drôle le petit lexique à la fin du livre qui ne recense que certaines expressions alors que le livre est truffé de vocabulaire typiquement québécois, bien plus que ce qui est expliqué à la fin de l'ouvrage ... en plus, mis à part si cet ouvrage s'adresse à des non-québécois, les définitions ne m'étaient pas étrangères et pourtant je ne suis pas québécoise de souche... loin de là).
J'ai, néanmoins deux petits bémols : je pensais, de par la couverture du livre, que le piano aurait une plus grande place dans ce récit et j'ai trouvé presque dommage que, fatalement, les juifs du romans se trouve inévitablement à avoir des aisances (naturellement génétiques ?) pour le commerce (un peu trop caricatural pour que j'y adhère totalement)...
Verdict :
Je disais donc, cher toi, que cette histoire est sympathique, que l'on s'attache aux personnages et que l'on se surprend à leur vouloir une vie paisible pour panser toutes leurs blessures d'oiseaux meurtris.
Certes, on s'attend à une fin heureuse et on est bien servis (peut-être trop ?, mais c'est ce ce qui en fait un conte, n'est-ce pas ?)
Note : 7/10
J'étais prévenue qu'il s'agissait d'un mi-conte, mi-roman. Pendant les 4/5ème de ma lecture, je n'y ai vu qu'un sympathique petit roman avec des personnages attachants et puis j'ai compris la notion de conte vers la fin avec un personnage énigmatique et une fin douce et optimiste (mais je ne peux pas tout te dire, quand même, cher toi !).
Cette histoire prend place, à la fin de la seconde guerre mondiale, dans un petit coin de pays Québécois proche de la capitale. On y suit Irène, une ex-prostituée, Louis, un orphelin adolescent, Nelly, un ex-bagnard qui se rencontrent dans un orphelinat qui est sous la direction d'une sœur particulièrement odieuse. On va suivre ces trois personnage et leurs histoires respectives mais surtout les histoire de Louis et Irène, ces deux personnages esseulés qui vont s'attacher mutuellement l'un à l'autre comme à une bouée de secours.
C'est un roman léger qui se lit vite et bien. La prose est sympathique car elle introduit de la parlure québécoise qui dynamise le récit et le rend chantant/vivant (par contre, petit aparté, j'ai trouvé assez drôle le petit lexique à la fin du livre qui ne recense que certaines expressions alors que le livre est truffé de vocabulaire typiquement québécois, bien plus que ce qui est expliqué à la fin de l'ouvrage ... en plus, mis à part si cet ouvrage s'adresse à des non-québécois, les définitions ne m'étaient pas étrangères et pourtant je ne suis pas québécoise de souche... loin de là).
J'ai, néanmoins deux petits bémols : je pensais, de par la couverture du livre, que le piano aurait une plus grande place dans ce récit et j'ai trouvé presque dommage que, fatalement, les juifs du romans se trouve inévitablement à avoir des aisances (naturellement génétiques ?) pour le commerce (un peu trop caricatural pour que j'y adhère totalement)...
Verdict :
Je disais donc, cher toi, que cette histoire est sympathique, que l'on s'attache aux personnages et que l'on se surprend à leur vouloir une vie paisible pour panser toutes leurs blessures d'oiseaux meurtris.
Certes, on s'attend à une fin heureuse et on est bien servis (peut-être trop ?, mais c'est ce ce qui en fait un conte, n'est-ce pas ?)
Note : 7/10
Sympathique et léger, j'ai peur que ça ne suffise pas à me convaincre...
RépondreSupprimerIl est faut pour tous les goûts, hein ? :)
SupprimerCela reste un conte, comme tu le dis.
RépondreSupprimerOui et c'est très bien de le prendre comme cela
SupprimerPas pour moi maintenant !
RépondreSupprimerY'a des moments pour tout !
SupprimerTrouverait on ce livre en France ?
RépondreSupprimerJe ne suis pas certaine ... à moins d'aller peut-être dans la librairie québécoise à Paris
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