samedi 28 juillet 2012

"Millenium : The girl with a dragon tattoo" - Tome 1 - de Stieg Larsson

Éditeur: Penguin Canada, Juillet 2009
463 pages
Titre original : Män som hatar kvinnor
Publié à titre posthume en 2005


Pourquoi avoir lu ce livre ?
J'ai pris bien du temps avant de me laisser tenter. Quand un livre devient soudainement trop populaire, je me méfie, j'appréhende et je suis persuadée que moi, je n'aimerai pas. Un jour, lors d'un week-end à Rochester, ce livre (et son petit frère, le deuxième tome) m'ont appelé désespérément dans un Barnes and Noble. Je ne les ai pas écouté, au début, et puis, en voyant qu'ils étaient à rabais, je leur ai donné leur chance.


Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture (pris sur Amaz*n.fr) : 
Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires. Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée. placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, Mikael Blomkvist, cassé par un procès en diffamation qu'il vient de perdre, se plonge sans espoir dans les documnts cent fois examinés, jusqu'au jour où une intuition lui fait reprendre un dossier. Régulièrement bousculés par de nouvelles informations, suivant les méandres des haines familiales et des scandales financiers. lancés bientôt dans le monde des tueurs psychopathes, le journaliste tenace et l'écorchée vive vont résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire. A la fin de ce volume, le lecteur se doute qu'il rencontrera à nouveau les personnages et la revue Millenium. Des fils ont été noués, des portes ouvertes. Impatient, haletant, on retrouvera Mikael et sa hargne sous une allure débonnaire, et Lisbeth avec les zones d'ombre qui l'entourent, dans -Millénium 2 - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette ; Millénium 3 -La Reine dans le palais des courants d'air.


Ce que j'en ai pensé : 
Bon et bien, c'est un vrai page turner. 

S'il est vrai que le thème ne va pas plaire à tous car il y a quelques passages à éviter pour les âmes sensibles, il n'en reste pas moins qu'il y a de très bons éléments et d'autres qui m'ont fait me dire "déjà vu" J'ai un  peu honte de comparer cette lecture avec "Le Da Vinci Code" car je ne place pas ces livres sur la même échelle du tout mais pour les deux, j'ai plongé à reculons et me suis vite prise au jeu en tournant les pages avidement pour savoir ce qu'il allait se passer, ce qui s'était passé

Si le début du livre a été un peu pénible avec les détails économiques et financiers, le reste est vraiment agréable. 
On se prend vite dans l’enquête de Blomkvist mais surtout on s'attache très vite au personnage de Lisbeth Sallander. Elle intrigue et fascine en même temps. Je l'aime (beaucoup). J'aime son allure et attitude punk, en marge de la société, j'aime son esprit "nerd", j'aime son intelligence, j'aime son sarcasme, j'aime qu'elle se fiche de ce ce que l'on pense d'elle. J'ai beaucoup moins aimé ce qui lui est arrivé et lui arrive dans la vie mais ça donne encore plus envie de la suivre et voir comment elle va s'en sortir.
D'ailleurs, c'est le gros point positif de ce livre : la psychologie des personnages est bien détaillée et cohérente.

Juste un petit commentaire sur la traduction du livre. Je préfère le nom du titre traduit en français "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes" que le titre anglais. Car s'il est vrai que l'on parle beaucoup de Lisbeth, il y a vraiment 2 protagonistes et Blomkvist a autant d'importance que Lisbeth dans ce tome.
D'ailleurs Wikipedia m'informe que le titre original suédois est "Män som hatar kvinnor", ce qui veut dire littéralement : "Les hommes qui n'aiment pas les femmes"... 
Voilà, on est d'accord !


Verdict :
Je comprends parfaitement l'engouement qu'il y a eu autour de ce livre (et, de la trilogie (puisque je suis à la moitié du 3ème tome). C'est un livre qui, passé les premières pages, devient un vrai page-turner.


Note : 8.5/10




Bonus : Le film


Réalisation :  David Fincher
Scénario : Steven Zaillian
Acteurs : Daniel Craig, Rooney Mara, Christopher Plummer, Stellan Skarsgard, Steven Berkoff, Robin Wright, Yorick van Wageningen et Joely Richardson
Sortie : janvier 2012


Pourquoi avoir vu ce film ?
Nous avons vu le film quelques jours après la fin de ma lecture du 2ème tome. 
En fait, ces 2 livres étaient dans ma PAL depuis de longs mois mais, du fait que mon homme ait acheté le DVD, j'ai eu envie de lire le livre avant de voir le film...


Ce que j'en ai pensé : 
Le film est assez bien foutu. Fatalement, il manque des scènes et détails puisqu'il ne sera jamais possible à une adaptation d'être aussi complète qu'un livre mais l'ambiance est relativement bien représentative du livre. C'est assez fidèle sauf la fin qui, comme souvent aussi, hélas, diverge pas mal de l'original (dommage).
J'aime aimé l'alchimie des deux acteurs principaux. Le duo Daniel Craig/Rooney Mara fonctionne à merveille.
Il me reste à voir le film suédois original pour voir s'il est mieux que la version refaite américaine (ahh dès qu'il y a du commercial facile, ils se ruent là-dedans immanquablement ... ça en est lassant mais ça marche et même moi j'ai cédé).


Note : 8/10

mercredi 25 juillet 2012

BD du mercredi "Mamette - La fleur de l'âge" de Nob


Édition : Tchô, la collec ...  
Octobre 2011
48 pages

Pourquoi avoir lu ce livre ?
Comme promis, voici ma critique sur le 5ème tome des histoires de Mamette.



Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 
 

Ce que j'en ai pensé : 
J'avais peur d'être déçue car rappelle toi la semaine dernière, j'avais eu une légère déception avec le 4ème tome.
Dans ce tome, l'été est de retour et le club des ainés organise un voyage organisé a Barcelone. 
J'ai retrouvé l'humour qui me plaisait tant dans la série Mamette. J'ai aimé voir les "vieux" rouspeter pour un rien et agir comme de vrais gamins. J'ai aimé la fraîcheur amenée par la jeune femme de 20 ans, Lola, petite-fille de Mamette. J'ai aimé que les problèmes des seniors cottoient les problèmes des jeunes adultes. J'ai aimé voir ces deux générations ensemble. 
J'ai aussi aimé rencontrer un autre senior qui pourrait être un nouveau prétendant. J'ai aimé qu'il ait l'esprit si jeune et soit un tantinet excentrique.
J'ai adoré tous les flashback dans la vie de Mamette et Lola, c'était souvent très émouvant et transcrivait bien les émotions.
En plus, je ne sais pas si tu as remarqué mais la couverture est vraiment différente des précédentes. Les focus est beaucoup plus sur Mamette et Lola; aucun élément de décor autour. C'est minimaliste et tellement éclairé comparativement aux autres couvertures. Je trouve que c'est rafraîchissant et différent même si, finalement, il y a beaucoup de nostalgie et de tendresse dans cet album.



Verdict : 
Me voici réconciliée avec la série. J'ai, donc, à nouveau hâte à la suite !!!

Note: 8.5/10 

Bonus 1 : Une planche


Bonus 2 : Une autre planche (je n'y résiste pas)


Bonus 3 : les autres BDs du mercredi chez Mango 


dimanche 22 juillet 2012

"No et moi" de Delphine de Vigan

Éditions : Livre de Poche, 2009
250 pages


Pourquoi avoir lu ce livre ?
Ça fait un bon moment que je me dis que je dois découvrir Delphine de Vigan car on m'en parle souvent (de vive voix ou sur les blogs). J'ai décidé de commencer par ce titre (il faut bien commencer quelque part, non ?).


Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 
No et moi, c’est une rencontre merveilleuse avec Lou , adolescente surdouée de 13 ans. Coincée entre une mère à la dérive et un père qui force la bonne humeur, elle aborde sa 1ère année de lycée avec réticence et timidité jusqu’à sa rencontre avec No… Un regard nouveau sur le monde des SDF, un mélange de clairvoyance et de naïveté sur la pauvreté. Une bulle de douceur dans cette rentrée littéraire…


Ce que j'en ai pensé : 
Quelle belle histoire et quelle belle écriture. Quelle belle découverte donc avec Delphine de Vigan !
J'ai aimé le ton du livre. 
J'ai aimé tous les personnages.
J'ai aimé que cette jeune Lou Bertignac, qui est la narratrice, soit un juste milieu entre une fille surdouée et une fille normale. Contrairement à la protagoniste de "L'élégance du hérisson" que j'avais trouvé insupportable tant elle me semblait déconnectée et hautaine, ici, Lou, me paraissait bien plus "vraie" et attachante. J'ai aimé ce mélange de timidité et d'envie de se battre contre les idées reçus. J'ai aimé son altruisme et son attirance pour No. 
J'ai aimé cette pauvre femme qu'est la maman de Lou et qui a vécu un drame dont elle ne se remet pas.
J'ai aimé le papa de Lou qui se bat pour maintenir une famille "presque normale".
J'ai aimé No, cette jeune SDF qui doit survivre, si jeune, dans la rue, avec des rêves plein la tête.
J'ai aimé ce professeur cassant qui me faisait penser à mon prof de Maths de 4ème qui terrorisait les élèves mais, qui on le sentait quand même, avait un bon fond (très très caché ;) )
J'ai aimé la relation entre ces deux jeunes filles, No et Lou.
J'ai aimé la relation entre Lou et Lucas.
Pour ces deux relations : Tant de contraste et finalement tellement de ressemblance était touchant.
J'ai aimé la connivence qui se dégage du trio de jeunes. La complicité qui se créé entre ces êtres que tout sépare.
Et puis, j'ai aimé la fin qui n'est pas uniquement d'eau de rose ;)


Verdict : 
Un vrai coup de coeur. 
Une lecture qui se lit rapidement mais qui laisse de belles traces.
Je cherche le DVD. Je crois que je vais bien aimer le film éponyme et peut-être même que je vais pleurer.
Et puis, il faut absolument que je lise d'autres livre de cette auteure qui me plait vraiment bien pour cette toute première lecture.


Note: 9/10 

mercredi 18 juillet 2012

BD du mercredi "Mamette - Entre ciel et Terre" Tome 4 de Nob




Édition : Tchô, la collec ...  
Mars 2010
48 pages




Pourquoi avoir lu ces livres ?
Ça fait longtemps que je ne suis pas venue te parler de Mamette. Pourtant, j'ai lu le 4ème tome il y a fort fort longtemps et je n'avais pas pris le temps de le commenter. Or, comme j'ai lu, il y a un peu moins longtemps (en avril, dans l'avion, de retour du week-end éclair pour le mariage civil de ma soeur, pour être précise (quoi? ma vie ne t'intéresse pas ?)), le 5ème et dernier tome paru, voici le temps de te parler de ces tomes maintenant. 
En fait, je te parle du 4ème tome aujourd'hui et du 5ème la semaine prochaine, ok ? :)









Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 


Ce que j’en ai pensé :
Encore une fois, j'ai eu du plaisir à retrouver cette bonne Mamette mais la magie a un peu moins opéré que les précédents tomes. Peut-être un début d'essoufflement de la série ?
C'est le temps des fêtes de fin d'année. Il fait froid, il fait gris mais Mamette est un petit rayon de soleil pour son entourage. Elle arrive même à motiver son balourd de fils a retrouver un emploi. Elle croise souvent ce célèbre acteur, Camille Desplanches, dont la mémoire est de plus en plus défaillante. Y'aura t-il un début de romance entre Mamette et lui ? Elle continue d'oeuvrer au sein de son club d'aînés où l'on prend du plaisir à revoir toutes les personnes acariâtres qui l'entourent. On retrouve aussi sa pétillante petite-fille.
Ce tome, comme les autres, est encore bien fourni en dessins de qualité avec ses couleurs pastel et les figures exagérément grosses de ses personnages, les rondeurs des corps, la diversité des expressions de visages...
Si j'ai encore aimé le dessin, j'ai été moins emballée par l'histoire que je trouve plus décousue. Les thèmes abordés sont toujours intéressants (solitude des personnes âgées, mort, chômage des jeunes et moins jeunes, décalage technologique pour les anciens, maladie, vie amoureuse des aînés, etc), mais la façon dont ils sont amenés, cette fois-ci, m'a semblé moins pêchue.
Je chipote, je chipote car dans le fond, ça quand même été un plaisir de lire ce tome, même s'il était un "chouilla" de niveau inférieur aux précédents.

Verdict :
Mamette, c'est une bulle d'air frais qui ravit les petits et les grands. 
Légère, toute légère déception avec ce tome.
Qu'en sera t-il avec le suivant ?

Note : 7/10

Bonus 1 : Une planche


 Bonus 2 : les autres BDs du mercredi chez Mango 







mardi 17 juillet 2012

Club de lecture : "Guyana" d'Élise Turcotte

Édition :  Leméac, septembre 2011
175 pages


Pourquoi avoir lu ce livre ?
Dans quelques jours, j'assiste à mon deuxième RDV du nouveau club de lecture. Et ce qui me fait penser, que je n'ai pas encore parlé du premier livre dont on a discuté en mai...
Ce livre avait gagné au vote parmi d'autres titres de livres proposés.



Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 
La vie d'Ana et de son fils Philippe est chamboulée par la mort de Kimi, qui a toutes les apparences d'un suicide. Il y a tout juste un an, Rudi, le père de Philippe, mourait d'une "saleté dans le sang", ce dont l'enfant hypersensible est demeuré inconsolé. Du coup, les souvenirs intimes d'Ana se réveillent en même temps que ceux d'un évènement survenu au Guyana en novembre 1978.

Ce que j'en ai pensé : 
J'ai du lire ce livre pendant une période de ma vie qui ne s'y prêtait pas et donc, je n'ai pas su l'apprécier. J'ai aimé l'écriture d'Élise Turcotte que je découvrais par la même occasion. C'est plein de poésie et de belles images et cela contraste tellement avec le sujet abordé. On y parle du suicide ou meurtre d'une jeune coiffeuse. Je n'ai pas réussi à adhérer à l'obsession d'Ana pour trouver la vérité. J'ai eu du mal à trouver cette obsession crédible. Certes, elle perd quelqu'un qui lui était cher mais ce n'est pas non plus comme si c'était un membre de sa famille ou une amie. J'ai eu du mal avec la solitude et la tristesse que l'on ressent chez Ana et Rudi depuis la disparition de Philippe. 
Même si elle explique dans une entrevue (voir Bonus2) que Rudi n'est pas autiste, ce petit enfant m'en a donné toute l'impression et a fait jaillir en moi un petit malaise. Il a des pensées bien plus adultes que son âge (il arrive à déstabiliser sa mère avec ses propos sur la mort de son père et celle de Kimi), il est isolé, il a du mal à faire confiance aux gens (il ne se laisse couper les cheveux que par Kimi), il est un surdoué d'échecs, il a peu d'amis, il vit souvent comme dans une sorte de bulle.
Ana et Rudi sont proche dans l'être. J'ai eu l'impression qu'il y avait un gouffre entre eux et ça m'a dérangé.
Elise Turcotte dit s'être inspirée de faits réels (suicide d'une coiffeuse qu'elle connaissait, reprendre la tragédie de Guyana qui l'avait hantée...). 
De mon côté, j'ai aimé lire les descriptions du quartier à côté duquel je vis.


Verdict : 
Un livre que je n'ai pas apprécié. Une belle écriture très poétique (on sent vraiment qu'Élise est une poétesse et qu'elle a écrit plusieurs poèmes) mais une histoire trop sombre pour moi à ce moment là.

Note: 6/10 




Bonus 1 : Ils en ont parlé mieux que moi car ils ont bien aimé : Le Papou  et Lucie (qui font partie du club de lecture), Venise


Bonus 2 : Une entrevue très intéressante d'Élise Turcotte dans ma librairie préférée

dimanche 15 juillet 2012

En retard ... Joyeux anniversaire ma petite pitchounette ;)



Tu profites bien de ton été ! 
Profites aussi bien de tes 3 ans ma chouette !

Pitchounette et les livres : "The story of little Babaji" de Helen Bannerman






Pourquoi avoir lu ce livre ?
Il fallait bien que papa occupe Pitchounette pendant que maman faisait le tour d'un librairie à SF. Ils se sont donc installée tous les deux dans le rayon enfant et papa a lu plein d'histoires à Pitchounette. Papa, il est fort en anglais, alors il faisait de la traduction en direct. Pitchounette a voulu repartir avec une livre et elle a choisi celui-ci pour lequel elle a eu un coup de coeur.


Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrième de couverture : 
Un jour, Petit Babaji s'en va, d'un bon pas, dans la jungle. En chemin, il rencontre un tigre qui lui dit : Petit Babaji, je vais te manger ! Houlala, que va-t-il se passer ? Un très joli conte indien de Helen Bannerman, illustré par Fred Marcellino.

Ce que pitchounette et maman en ont pensé :
Voici une histoire qui serait célèbre dans le monde anglophone et dont je n'avais jamais entendu parler. Cela a été écrit en 1870 par Helen Bannerman, une écossaise, qui a vécu très longtemps en Inde. Elle a écrit ce livre pour ses deux petites filles. C'est une histoire charmante où le petit Babaji est un enfant choyé avec par une super Mamaji et un gentil Papaji qui lui offrent de beaux vêtements et accessoires mais qui va donner intelligemment, à défaut d'être dévoré, par des tigres. Ces tigres vont se disputer pour savoir qui est le plus élégant de la jungle avec des morceaux de vêtements de Babaji... A force de tourner à vive alllure autour d'un arbre, il vont de transformer en beurre fondu, avec lequel Mamaji va confectionner de bonnes crêpes.
Une histoire charmante, des illustrations colorées et expressives, de l'humour, des tigres féroces mais finalement si drôles, une fin qui finit bien... Bref, une histoire qu'Alissa demande souvent en boucle et qu'il me fait plaisir de lui raconter encore et encore.

Verdict :
Un chouette livre, souvenir de SF, que l'on va garder précieusement et lire souvent, très souvent pour avoir un petit goût d'Inde ;)


Bonus : Une image :

PS : le même ouvrage est sorti en français sous le titre "Le grand courage du petit Babaji"