Editions : J'ai Lu, 1999
Titre original : Na margem do rio Piedra eu sentei e chorei
248 pages
Pourquoi avoir lu ce livre ?
Paulo Coelho et moi avons une drôle de relation. Parfois ses livres me parlent ("Onze minutes" ou "Veronika décide de mourir") et parfois me laissent un peu sceptique ("L'alchimiste").
A défaut d'être tombée sur ce livre en VO, je l'ai quand même acheté pour 1$ à la grande vente des bibliothèques de Montréal pour voir si je me réconciliais avec l'auteur.
Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrième de couverture :
Pilar et son compagnon se retrouvent après onze années de séparation. Elle, une femme à qui la vie a appris à être forte et à ne pas se laisser déborder par ses sentiments. Lui, un homme qui possède le don de guérir les autres et cherche dans la religion une solution à ses conflits intérieurs. Tous deux sont unis par le désir de changer et de poursuivre leurs rêves. Ils décident alors de se rendre dans un petit village des Pyrénées, pour découvrir leur vérité intime.
Ce que j'en ai pensé :
Bon, ce tome vient rééquilibrer la balance car je n'ai pas été convaincue par ce livre.
La partie de l'histoire qui parle d'amour n'est pas assez approfondie et l'histoire est somme toute très/trop banale.
La partie qui parle de la religion m'a un peu fatiguée. Certes, il y a des éléments intéressants comme la féminité de Dieu mais bon, c'est comme si on effleurait le sujet et on le laissait ensuite de côté (tant mieux d'ailleurs car il m'aurait déplu de lire un livre qui soit vraiment trop axé sur la religion (déjà que j'ai failli abandonner alors s'il avait fallu que cela ne parle de d'ésotérisme ou de fondamentaux religieux, je ne l'aurai vraiment pas fini)).
La partie de l'histoire qui parle d'amour n'est pas assez approfondie et l'histoire est somme toute très/trop banale.
La partie qui parle de la religion m'a un peu fatiguée. Certes, il y a des éléments intéressants comme la féminité de Dieu mais bon, c'est comme si on effleurait le sujet et on le laissait ensuite de côté (tant mieux d'ailleurs car il m'aurait déplu de lire un livre qui soit vraiment trop axé sur la religion (déjà que j'ai failli abandonner alors s'il avait fallu que cela ne parle de d'ésotérisme ou de fondamentaux religieux, je ne l'aurai vraiment pas fini)).
Je ne suis pas contre les livres classé "philosophiques" mais il me semble que Paulo Coelho se prétend être ce qu'il n'est pas... on le classifie comme un philosophe.. euh, serait-ce de la philosophie de grand public ? car les concepts ne sont pas franchement élaborés.
C'est assez pauvre et redondant, merci.
C'est assez pauvre et redondant, merci.
Pilar est une femme qui est pénible, qui ne sait pas ce qu'elle veut. Elle m'a énervée.
Pas mieux pour je-ne-sais-pas-son-nom qui a demandé à la revoir.
Bref, je me suis sentie en marge de ce livre en me demandant sans cesse si j'allais aller au bout.
Pas mieux pour je-ne-sais-pas-son-nom qui a demandé à la revoir.
Bref, je me suis sentie en marge de ce livre en me demandant sans cesse si j'allais aller au bout.
Verdict :
Mauvaise pioche. J'aurai du lire ce livre en portugais/brésilien ...
Au moins cette lecture aurait été un peu plus bénéfique.
On ne m'y reprendra plus !
Au moins cette lecture aurait été un peu plus bénéfique.
On ne m'y reprendra plus !
Note : 4/10
Jamais aimé Coelho, un auteur à mon sens archi surcoté. De la philosophie de bazar très moralisatrice qui me sort par les yeux. Je comprends que tu n'est pas apprécié !
RépondreSupprimerJamais aimé cet auteur moi non plus! Surcoté... je suis d'accord avec Jérôme!
RépondreSupprimer@Jérôme : Surcôté, voilà le terme que je cherchais pendant l'écriture de mon billet. Merci de l'avoir écrit à ma place :)
RépondreSupprimerOui, je suis fatiguée, moi aussi, de toute cette morale de bas niveau présente dans ses livres
@Jules : Je suis d'accord avec toi et Jérôme. C'était probablement mon dernier Coelho
Moi je l'aime bien Coelho, mais ça c'est mon côté un peu... décalé !
RépondreSupprimerJe note 2 choses :
RépondreSupprimer- Je n'ai lu que ''l'alchimiste'' et je n'avais pas vraiment apprécié.
- Tu lis en portugais ou brésilien ??
Je ne note pas celui-là non plus.
Bon dimanche
Le Papou
@irrégulière : J'ai aimé mes premières lectures que je prenais sans prise de tête au bord de la mer sur le sable :)
RépondreSupprimerEn fait, il faut que je lise Coelho seulement si le soleil me tape trop fort sur la tête et donc ne peut pas réfléchir :)
@Le Papou : je lis en portugais plus facilement qu'en brésilien. Je ne suis pas assez familière avec le vocabulaire brésilien pour lire facilement mais j'en suis capable quand même
Après le demon et mademoiselle pyrm j'ai complètement décroché de cet auteur.
RépondreSupprimerje l'ai lu il y a plusieurs années, et je n'en garde aucun souvenir... c'est dire!
RépondreSupprimer@GeishaNellie : moi c'est là que je décroche
RépondreSupprimer@choupynette : Ohh mais je comprends qu'on puisse l'oublier aussi vite qu'il se lit
C'est après avoir lu ce livre que je n'ai jamais réouvert un Coelho...
RépondreSupprimer@Sara : ahh oui, je comprends... Après cette lecture, on se demande vraiment pourquoi Coelho est si haut dans les ventes de livres et ça ne donne pas envie d'aller plus loin. D'ailleurs, moi aussi je jette l'éponge
RépondreSupprimerOh my, ça fait peur ça. Il y a tout ce que je n'aime pas dans ce roman. Pas pour moi, pas pour moi, pas pour moi!
RépondreSupprimer@Karine:) : Alors passe ton tour sans aucun regret
RépondreSupprimerJ'ai bien du mal avec cet auteur moi aussi. Je n'ai pas encore lu Veronika décide de mourir. Je pense bien que ce sera sa dernière chance ! Si celui-là ne me convainc pas, j'arrête de le lire, tout simplement.
RépondreSupprimer@Isa : moi j'arrête là :)
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