vendredi 30 novembre 2012

"Je suis heureux que ma mère soit vivante"



Réalisé par Nathan et Claude Miller
Avec : Vincent Rottiers, Sophie Cattani, Christine Citti
2009

Pourquoi avoir vu ce film ?
J'étais à la bibliothèque et je suis tombée (presque littéralement car je me suis pris le pied dans la corbeille proche des étagères) sur la section des DVD. J'ai parcouru les titres et rien ne me tentait vraiment. J'ai hésité, soupesé ce DVD, lu le synopsis (ce que je fais très très rarement) et finalement, je me suis laissé convaincre de l'amener avec moi.

Synopsis :
Notre identité est un vêtement dont notre enfance a dessiné les coutures. La présence de ceux qui nous ont élevés, nos parents, a été fondatrice de ce que nous sommes. Mais que se passe-t-il quand il s'agit d'absence ? C'est une des questions posées par notre histoire.


Entre 7 et 20 ans, Thomas a recherché Julie, sa mère biologique. A l'insu de ses parents adoptifs, il va retrouver cette femme qui l'a abandonné à 4 ans et commencer auprès d'elle une "double vie". Mais "qui a deux maisons perd la raison..." dit le proverbe.


Ce que j'en pensé :
Et bien c'est un très bon film sur l'adoption et la recherche de ses parents biologiques. C'est une "belle" histoire sur la relation d'amour-haine que l'on peut avoir pour une femme qui nous a mis au monde puis qui nous a abandonné. 
C'est inspiré d'un fait divers de 1996 dont Emmanuel Carrière a écrit un article.
Le rythme est lent, l'ambiance est lourde, et Vincent Rottiers joue merveilleusement bien ce jeune adulte qui veut trouver sa place, se définir une nouvelle famille, prendre un petit frère sous son aile et chercher à s'identifier.
J'ai aussi beaucoup aimé le jeu de Sophie Cattani dont il est difficile de percer la coquille pendant tout le film.
La quasi fin m'a inévitablement fait penser au premier film où je voyais jouer Vincent Rottiers ("Avant l'aube") car les rôles et situations sont finalement très proches (ça en était presque dérangeant mais bon, "Avant l'aube" a été produit après ce film donc toute ressemblance ne peut avoir été faite que dans l'autre sens...).
L'histoire est troublante et la psychologie des personnages est très bien tracée.
J'ai beaucoup aimé les quelques flash-back qui bousculent la linéarité du récit.
J'ai aimé le moment du film où cette phrase est prononcée "Je suis heureux que ma mère soit vivante".

Verdict :
Un drame qui s'est avéré être une bonne surprise alors que je n'avais pas du tout d'attentes sur ce film.
Juste un bémol concernant le rôle de Vincent Rottiers qui est bien trop proche de celui dans "Avant l'aube". Du reste, tout est vraiment très bien dans ce film. A voir.

Bonus :
La bande annonce :



mercredi 28 novembre 2012

BD du mercredi : "Sorcières" de Chabouté





Editions : Le Téméraire, 1998

64 pages



Pourquoi avoir lu ce livre ?

J'ai découvert Chabouté avec "Quelques jours d'été" et j'avais adoré. Il me fallait continuer la découverte !







Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :
Entre vieilles croyances, maléfices, diableries et autres jeteurs de sorts, il ne fait pas bon vivre dans nos campagnes... Elles veulent notre peau... Oui, mais pour en faire quoi ?


Ce que j'en ai pensé :

Il s'agit de 15 histoires sur des sorcières des campagnes (française?)
Les dessins sont encore majestueux. C'est fou tout ce qui peut ressortir d'un dessin en noir et blanc. Un coup de crayon blanc sur un fond noir ou alors un trait de crayon noir sur un fond blanc! C'est vraiment très bien exécuté ! (pour s'en rendre compte, il suffit de voir mon bonus en bas).J'ai vu qu'il y avait une version avec couleurs. Il faudrait que j'essaye avant de conclure mais il me semble que la couleur ferait perdre un peu de l'ambiance glauque présente dans le recueil. En effet, l'ambiance des campagnes avec toutes ces femmes diaboliques est lourde, oppressante et malgré tout drôle car chaque histoire se conclue avec une fin d'humour noir. C'est jouissif.
Les traits des personnages est incisif. Les vieilles femmes/sorcières représentées dans cet album sont plus hideuses les unes que les autres et auraient probablement terrorisé ma pitchounette. Il y a un peu de caricature mais mine de rien, certains visages m'ont presque fait penser à du monde que je connais (oui, apeurant !).

Verdict :
Encore une très belle pioche. Je pense que j'apprécie bien ce Christophe Chabouté !
Maintenant, il faut que je lise absolument "Tout seul" depuis le temps qu'on m'en parle et il semblerait que cela soit l'album de Chabouté préféré de beaucoup de monde.


Note : 9/10

Bonus 1 :





Bonus 2 : Les billets de Joelle, Marguerite, Mo'Wens

Bonus 3 : les autres BDs du mercredi chez Mango 

lundi 26 novembre 2012

Magasin général tome 8 !!!!

Il est sorti, il est sorti, il est sorti ...



Est-ce que quelqu'un sait quand il sera disponible au Québec ????

Edit (16:18) : Je suis passée voir mon libraire et le verdict est : le 16 ou 17 décembre

"Malphas - Le cas des casiers carnassiers " Tome 1 de Patrick Senécal


Éditions Alire, 2011
337 pages

Pourquoi avoir lu ce livre?

Parce que j'ai une mémoire de poisson rouge, je pensais que c'était là le livre de jeunesse qu'il avait écrit et que je voulais découvrir. pfft !



Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :

Je m'appelle Julien Sarkozy. Oui, oui, je me prénomme bien Julien ! Professeur de littérature, je suis fin prêt pour ma première session au cégep de Malphas. Je vais d'abord rencontrer le directeur pédagogique, puis mes nouveaux collègues, et enfin mes étudiants. mes étudiants dont certains ne verront pas la fin de la session ! 



Ce que j'en ai pensé :
Dans le style un peu vulgaire, on reconnait la plume de Senécal. Par contre, pour le moment c'est moins gore que les derniers livres que j'ai lu de cet auteur. Oui, il y a de sang, des meurtres, des situations qui flirtent avec le fantastique mais c'est un peu moins intense que ses derniers romans (par exemple Hell.com).
Le cadre du CÉGEP semble convenir parfaitement à Patrick Senécal qui est lui-même professeur. Le thème du professeur n'est pas nouveau. Dans "La passager", par exemple, le protagoniste est un professeur qui a accepté un poste à Drummonville, sa ville natale.
Drummonville, ville natale de Senécal, est aussi une place récurrente... Dans cette série, Julien Sarkozy en est aussi originaire. Est-ce que les protagonistes des livres sont une extension de l'auteur ? :))
Dans ce livre, il n'y a pas que de la noirceur, non, il y a aussi des pointes d'humour. Dans ce CEGEP, bien particulier, perdu au fin fond de nulle part (Saint Traillouin (c'est déjà drôle comme nom, non?)) et avec des élèves et des professeurs qui n'ont été acceptés nulle part ailleurs, on se se retrouve avec des personnes ayant toutes sortes de pathologies. On y voit un professeur juif haïtien paranoïaque, une jeune professeure anorexique (?) limite nymphomane, un directeur pédagogique tout le temps à l'ouest et fan de scrapbooking, un étudiant journaliste qui parle comme s'il venait d'une autre planète... 
L'humour est assez noir. Il y a un peu de mystère et beaucoup de fantaisie.
L'histoire de l'enquête sur les meurtres qui ont lieu dans le CÉGEP Malphas est assez riche en rebondissements et a suscité mon intérêt. La seule chose que je déplore, finalement, c'est la constance du langage cru sexuel que s'évertue à placer dans chaque chapitre le narrateur.



Verdict :
Cela n'a rien à voir avec les précédents livres de Senécal. C'est dans un tout autre registre. C'est plus "léger" que les précédents mais cela reste une histoire un peu sanguinolente (juste un peu).

Je sais que je vais lire le second tome qui est déjà sorti. D'une part parce que j'ai quand même envie de continuer à savoir ce qu'il va se passer dans ce CÉGEP vraiment pas comme les autres mais aussi parce qu'il y sera question d'un club de lecture :)
Si j'ai bien compris, cette série sera constituée de 4 tomes. Ça devrait être dans mes cordes pour ne pas atteindre une lassitude.
Comme le second tome est sorti cet été, il est difficilement disponible à la bibliothèque.
A suivre donc !
Peut-être qu’entre-temps  je pourrai me pencher sur son roman pour jeunes (ce qu'initialement, je voulais lire ...) : "Sept comme setteur" puis "Madame Wenham".

Note : 7/10 


samedi 24 novembre 2012

"Le parfum d'Adam" de Jean-Christophe Ruffin


Editions : Flammarion, 2006
538 pages


Pourquoi avoir lu ce livre?
Je ne connaissais Jean-Chirstophe Ruffin qu'avec la lecture de "Rouge Brésil" que j'avais adoré.
Je connaissais ce titre avec la lecture de bon nombre de billets il y a quelques mois/années.
Et puis, un jour, à la vente des bibliothèques de Montréal, je suis tombée sur ce livre qui n'attendait que moi pour être acheté.

Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :

Juliette est une jeune militante écologiste, fragile et idéaliste. Elle participe à une opération commando pour libérer des animaux de laboratoire. Cette action apparemment innocente va l'entraîner au coeur d'un complot sans précédent qui, au nom de la planète, prend ni plus ni moins pour cible l'espèce humaine.


L'agence de renseignements privée « Providence », aux États-Unis, est chargée de l'affaire. Elle recrute deux anciens agents, Paul et Kerry, qui ont quitté les services secrets pour reprendre des études, l'un de médecine, et l'autre de psychologie. Leur enquête va les plonger dans l'univers terrifiant de l'écologie radicale et de ceux qui la manipulent. Car la défense de l'environnement n'a pas partout le visage sympathique qu'on lui connaît chez nous. La recherche d'un Paradis perdu, la nostalgie d'un temps où l'homme était en harmonie avec la nature peuvent conduire au fanatisme le plus meurtrier.

Du Cap-Vert à la Pologne, du Colorado jusqu'aux métropoles brésiliennes, Le parfum d'Adam est un thriller planétaire haletant. Mais ce roman d'aventures est aussi un voyage littéraire, où l'on retrouve les portraits, les paysages et l'humour qui ont fait le succès de L'Abyssin ou de Rouge Brésil.



Ce que j'en ai pensé :
Sous le thème de l'écologie, ce livre est classé comme thriller. J'avais de grandes attentes. D'une part car j'avais un très bon souvenir de ma première découverte de Ruffin et ensuite car j'avais envie de lire un livre de style thriller dont les pages tourneraient toutes seules. Déception donc (un petit peu) car je n'ai pas été enthousiasmée du tout. L'histoire en tant que tel est relativement intéressante et soulève de bons sujets autour du radicalisme écologique mais je n'ai pas eu cette frénésie qui me poussait à vouloir constamment lire la suite. Je reprenais ce livre lorsque j'avais quelques minutes pour lire mais sans véritable engouement.
On sent que Jean-Christophe Ruffin tient à ce thème d'écologie et à la "bonne façon" de protéger notre planète. On sent qu'il s'est bien documenté (la preuve en est donnée à la fin du livre avec toutes les références qu'il ajoute en complément de lecture). 
Les personnages sont sympathiques et on les adopte facilement. 
J'ai beaucoup aimé le personnage de Juliette qui se trouve catapultée dans une mission qui la dépasse. Par contre, j'ai trouvé la fin un peu trop "hollywoodienne". Les agents Paul et Kerry sont aussi fort sympathiques (comme l'ensemble des agents de l'agence Providence (nouvelle agence montée avec des agents de la CIA)). On déplore quand même que les gentils semblent trop gentils et les méchants trop méchants. 
L'histoire est assez dynamique et riche en rebondissements mais je crois que le livre était un peu trop long pour moi.
Je présume qu'il serait facile d'en faire une adaptation ciné car le propos et le rythme du livre s'y prêtent drôlement bien.

Verdict :
Un livre, somme toute assez bon, mais duquel je suis restée en marge et avec trop d'attentes.
Un sujet intelligent et d'actualité (le radicalisme écologique) dont on parle rarement en littérature et qui a le mérite d'avoir été bien traité par Jean-Christophe Ruffin dans ce roman.
Je n'ai pas réussi à me plonger dedans et je l'ai trouvé très long mais je considère que cela peut être une très bonne lecture pour d'autres.

Note : 7/10

jeudi 22 novembre 2012

"Louna et sa mère" Tome 2 / scénario, Sophie Gascon ; dessins, Marc Chalvin.


Editions : Akiléos, 2009
56 pages


Pourquoi avoir lu ce livre?
Parce que, malgré ma déception avec le premier tome, j'avais le 2ème à la maison et que j'ai voulu voir s'il y avait une amélioration.

Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :

Louna est le centre de son petit monde, à la mode du siècle : un papa solo, présent via Internet, un nouvel-amoureux-de-maman, qui squatte l'appartement sans poser ses bagages (excepté son chien baveux, que Louna s'approprie immédiatement) des grands-parents mariés, eux, et pour la vie...une arrière-grand-mère à roulettes, et son mutisme parlant...sans oublier les copains " united colors ". Mais c'est surtout Maman que Louna mène gentiment par le bout du nez. Il faut dire que leur couple à elles, c'est du sacré " Mère-Fille " ! Qui se cache derrière " Louna et sa mère " ? Vous, vos parents, vos enfants. Retrouvez qui vous voudrez dans leur tendre et caustique miroir d'aujourd'hui.


Ce que j'en ai pensé :
La seule raison pour laquelle j'ai un peu mieux aimé ce tome c'est parce qu'il y a un nouveau personnage qui m'a fait rire : la grand-mère muette, apathique et sans expression. Mais c'est tout. Je n'ai pas plus sourit, je n'ai pas plus aimé (ni les dessins ni les blagues).

Verdict :
J'arrête là... cette BD n'est pas pour moi

Note : 4/10


mercredi 21 novembre 2012

BD du mercredi : "Louna et sa mère" Tome 1 / scénario, Sophie Gascon ; dessins, Marc Chalvin.



Editions : Akiléos, 2007
48 pages


Pourquoi avoir lu ce livre?
J'ai pris les 2 premiers tomes à la bibliothèque parce que j'ai trouvé la couverture sympa et les quelques illustrations que j'ai vu en feuilletant me semblaient encourageantes.








Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :

Ce que j'en ai pensé :
En prenant les livres, je ne m'étais pas arrêtée à lire quelques strips. Peut-être aurai-je alors reposé les livres. En fait, cela se veut drôle et j'ai à peine souri 1-2 fois et probablement parce que je n'arrivais pas à rentrer dedans, j'ai commencé à critiquer aussi le dessin (les mêmes vêtements pour les personnages, les même 4-5 expressions de visage)... C'est dommage :(
J'ai trouvé que le thème de base (une maman mono-parentale vivant avec sa fille et dont la fille essaye tout ce qu'elle peut pour rabibocher son papa et sa maman en écartant le nouvel amoureux de sa maman) était sujet à plusieurs scènes mais au final, je trouve que cela tourne en rond.
Contrairement à Lou, cet album a pour lectorat cible les adultes (enfin, je crois car je n'imagine pas des enfants, même ados, rire de ces blagues).

Verdict :
Un album a côté duquel je suis complètement passée.

Note : 4.5/10

Bonus 1 :

Bonus 2 : les autres BDs du mercredi chez Mango 

lundi 19 novembre 2012

"Le premier jour du reste de ta vie"


 Réalisation et scénario, Rémi Bezançon. 
2008
Avec : Jacques Gamblin, Zabou Breitman (encore elle ! (No et moi)), Déborah François, Marc-André Grondin (encore lui  (C.R.A.Z.Y) !), Pio Marmaï ...

Pourquoi avoir vu ce film ?
Je l'ai pris à la bibliothèque parce que j'ai aimé le titre, la couverture et certains des acteurs.

Synopsis :
Le Premier Jour du reste de ta vie retrace l'histoire d'une famille de cinq personnes, à travers cinq jours plus importants que les autres, cinq jours qui changeront leur vie pour toujours. Ce film retrace la vie tumultueuse d'une famille que tout le monde prend en exemple.

Ce que j'en ai pensé :
J'ai vu ce film il y a une semaine (enfin, une semaine avant que j'écrive ce billet, donc quelques semaines avant que tu me lises, cher toi) et j'ai déjà presque oublié... Ok, j'ai une mémoire de poisson rouge mais là n'est pas la seule raison. La vraie raison c'est que j'ai trouvé ce film assez dénué d'intérêt. Si comme dans "C.R.A.Z.Y", on parle de la vie d'une famille, les personnages m'ont semblé moins sympathiques, moins vrais, moins intéressants.
C'est drôle d'ailleurs de retrouver des acteurs des tous derniers films que j'ai vu (Zabou Breitman dans No et moi et  Marc-André Grondin  dans C.R.A.Z.Y). 
J'aime beaucoup Jacques Gamblin mais cela n'a pas suffit à entretenir mon intérêt pour le film. 
Certains personnages sont drôlement bien joués et sont attachants. Certaines scènes sont excellentes mais elles sont rares. Les autres m'ont semblé soit inutiles soit surjouées.
En fait, pour être objective, je dirai que j'aurai probablement préféré ce film si je ne l'avais pas vu après C.R.A.Z.Y.

Verdict : 
Un film relativement sympathique sur une histoire de famille, famille somme toute comme beaucoup de familles avec des hauts, des bas, des crises, des joies, de la fraternité, de la jalousie...

Bonus :

dimanche 18 novembre 2012

Pichounette et ses livres "Le trésor de l'enfance"


Editions : Gallimard Jeunesse, Nouvelle édition de 2010
350 pages

Pourquoi lire ce livre?



Cela fait un moment que nous avons ce livre à la maison car Mamannie l'a offert à pitchounette quand elle devait avoir 1 an et demi.

Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrième de couverture : 
Cette anthologie rassemble une quarantaine d'histoires éditées par Gallimard-Jeunesse depuis trente ans : contes, comptines, récits d'aventure, histoires pour s'endormir, poèmes, chansons, etc. Une indication du temps de lecture pour chaque histoire. S'adresse aux enfants de 2 à 9 ans selon les textes.

Ce que pitchounette et maman en ont pensé :
Ce livre est une suite d'histoires anthologie de l'enfance (ou extraits d'histoires) . On y trouve par exemple, le Petit Prince, Le crocodile de Roald Dahl, Le petit Nicolas, Trotro, Amélie la souris, le prince de Motordu, Pierre Lapin (et j'en passe !).
Les récits sont groupés par tranche d'âge, ce qui permet de conserver ce livre longtemps et de piocher parfois dans les histoires des plus petits parfois dans les histoires des plus grands au fur et à mesure que l'enfant grandit.
En plus de faire plaisir à pitchounette par sa variété d'histoires, cela fait plaisir à maman puisque ça la replonge dans ses souvenirs d'enfance avec toutes ces belles histoires qu'elle adorait ! Maman en a d'ailleurs découvert d'autres qu'elle a particulièrement aimé.
Les illustrations sont tantôt vives et colorées, tantôt noires et blanches. Souvent il s'agit des illustrations originales.
Bref, il s'agit de 350 pages de bonheur mais dont on ne lit que des tranches en fonction de l'âge de l'enfant.

Verdict :
Un beau melting-pot pour des enfants dès 2 ans et jusqu'à 9-10 ans pour les dernières histoires.
Maman et Alissa le recommandent chaudement.