Éditions : Dupuis, 1976 (je n'étais pas née dis donc :)
46 pages
Pourquoi avoir lu ce livre ?
C'est mon ami virtuel PG Luneau qui via sa lucarne m'a intriguée avec ce classique dont, je n'avais, bien évidemment jamais entendu parler.
Embêtée d'être si inculte, j'ai eu envie de me pencher sur cette série. Et ça tombe bien, à la biblio ils les ont tous !
Et puis, les discussions entre Arsenul et PG m'ont bien fait rire, alors il fallait que je me fasse ma propre idée :)
Ce que j'en ai pensé :
J'avais comme l'impression de connaître les traits de Gos mais je pense que, finalement, je n'ai rien lu de lui. Pourtant, y'a des airs de déjà-vu... En fait, je pense que cela me fait beaucoup penser à Boule et Bill.
Je n'ai donc pas été dépaysée par le style de dessin et la présence de phylactères bavards. Parfois ils prennent beaucoup de place sur les dessins.
Je n'ai pas été séduite par les couleurs (en même temps, pour une raison que je vais avoir du mal à expliquer (alors je ne vais même pas trop essayer), je trouve que ça fait très années 70 (du brun, du vert, du bleu, du orange, bref toutes les couleurs à la mode dans ces années là).
L'histoire, elle, sous fond de science-fiction légère commence sympathiquement. J'aime beaucoup la frimousse de Scarmeustache (tout ce qui ressemble de près ou de loin à un chat me plait, en général - sauf que là, y'a juste la tête qui fait penser un peu à un chat car il n'a pas de longue queue, par exemple). J'ai aimé son "humour", j'ai aimé son pouvoir de figer les gens. J'ai aimé les fonds d'histoire Inca et le mystère des origines de Khéna.
J'ai adoré les noms farfelus des péruviens. Il m'a fallu les lire à haute voir pour les comprendre. Car souvent, pour les noms, je ne fais que les photographier quand je les vois donc je ne comprenais pas au premier coup d'oeil ce qu'ils voulaient dire. Par exemple : Tharatélbac ou Lamalalestomac.
Comme PG, je me suis questionnée sur l'âge de Khéna, si on ne le voit à côté d'adultes, on lui donne facilement la vingtaine. Or, il n'est qu'un jeune adolescent. Bizarre.
J'ai aimé son oncle adoptif, George, sa bouille, son métier, son attitude me plaisent.
Verdict :
Un premier tome de cette série qui est, je pense, une bonne introduction. Il se peut que je lise la suite mais peut-être ponctuellement car je ne voudrais pas faire une overdose.
Note : 7/10
Bonus 1 : La si bonne critique du tome 1 par PG Luneau (et tut trouveras la critique de plusieurs tomes suivants dans ses archives)
Bonus 2 : une planche
Bonus 3 : Allons voir d'autres BD chez Mango !!
J ai souvent hesité devant a la biblio!
RépondreSupprimerOhhhhh, le Scrameustache, je retombe en enfance !!!!
RépondreSupprimeril va falloir que je farfouille à la médiathèque!
RépondreSupprimerPas très habituée à lire ce genre de BD. Il faudrait que je commence.
RépondreSupprimerJ'ai réussi à t'y intéresser!!! Chic chic chic!! Mais, vérifie bien, car certains sont meilleurs que d'autres (le tome #2 est à fuir, par exemple!!).
RépondreSupprimerEt merci de me faire tant de publicité!! Ça augmentera sûrement l'achalandage dans ma Lucarne... et tout ça grâce à toi!! Grosses bises!!
Ah voila un classique de mon cher magazine Spirou ! Je n'ai malheureusement jamais trop collé à l'univers du Scrameustache. Je préfère les schtroumpfs !
RépondreSupprimer@Yo : je ne connaissais pas avant que PG en parle et pourtant cela semble être un classique de Spirou Magazine.
RépondreSupprimer@Noukette: Et moi, je viens juste de le découvrir ... Mieux vaut tard que jamais, hein?
@lasardine : Bonne idée si tu veux plonger dans un classique connu de presque tous sauf moi
@Mango : Le style, je le connais assez bien mais cette BD, je ne la connaissais pas du tout
@PG : Mais c'est tout à fait normal. Il faut toujours citer ses sources, surtout quand elles sont bonnes ;)
RépondreSupprimerHmm, puis-je sauter le tome 2 comme ça? Je risque de perdre des bouts si je ne les lis pas tous, non ?
@Jérôme : Il fallait bien que je le découvre un jour. Je me sens tellement inculte parfois.
Comme toi, j'ai une préférence pour les schtromphs qui ont bercé mon enfance, eux !