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jeudi 30 mai 2013

"The great Gatsby" de Baz Luhrmann

Réalisé par 
142 minutes
Vu le 22 mai 2013


Pourquoi avoir vu ce film ?
Séance maman-bébé.

Synopsis :
Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats.

Ce que j'en ai pensé :
J'avais à la fois hâte et peur d'aller voir ce film. La bande-annonce montrait un peu trop l'aspect criard, flashy, girly, etc. Finalement, oui, il y a des éclats, de la lumière, de la danse, de l’exubérance mais c'est bien dosé et je n'ai pas ressenti d'overdose de paillettes. Au contraire, je trouve que le luxe, le flafla sont bien comme il faut pour démontrer une certaine notion du luxe extravagant de l'époque.

Les costumes sont tout simplement géniaux. Toutes les robes et costumes sont sublimes et bien portés !

Léo DiCaprio est très bon dans le rôle du magnifique Gatsby. Par contre, je n'ai pas aimé Tobby Maguire dans le rôle de Nick Carraway. Je le trouvais trop niais et décalé. J'ai aussi des réserves pour Carey Mulligan dans le rôle de Daisy Buchanan même si dois reconnaître qu'elle joue parfaitement de rôle de riche opportuniste et nunuche.

L'histoire, je ne la connaissais pas du tout (puisque je n'ai toujours pas lu le livre et n'ai pas vu le précédent film avec Robert Redford) donc je découvrais et ai aimé l'évolution de l'histoire (me demandant tout le temps si le récit évoluait de la même façon dans le livre car j'avais été surprise avec "L'étrange histoire de Benjamin Button".

Il y a juste 2 choses qui m'ont surpris : la musique anachronique des années 20 (dommage, moi j'aime beaucoup la musique de cette époque et j'aurai aimé en entendre) et as-tu remarqué, cher toi, comment le costume du GREAT Gatsby peut sécher super vite et ne pas rester froissé ? Si tu connais son truc, tu me le dis, hein ? Ça aiderait bien ma petite vie de ménagère !

Verdict :
Un agréable moment durant lequel je n'ai vu le temps passer et pourtant, je ne suis pas fan des films de plus de 2h...
Il faudrait que je vois le film avec Robert Redford et que je me décide à lire le livre (je le dis depuis des mois (la preuve ici))

Bonus :

mercredi 29 mai 2013

BD du mercredi : "Daytripper - Au jour le jour" de Fabio Moon et Gabriel Ba

Attention : pas loin du coup de coeur !


Éditions : Urban Comics, collection Vertigo, avril 2012
256 pages


Pourquoi avoir lu ce livre ?
Trop de tentations ces derniers temps (voir bonus 2) !!! Ces blogueurs m'ont presque obligé (si, si) à lire à mon tour cet album !





Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 

Les mille et une vies d’un aspirant écrivain… et ses mille et une morts. Brás de Oliva Domingos, fils du célèbre écrivain brésilien, passe ses journées à chroniquer les morts de ses contemporains pour le grand quotidien de Sao Paulo… et ses nuits à rêver que sa vie commence enfin. Mais remarque-t-on seulement le jour où notre vie commence vraiment ? Cela commence-t-il à 21 ans, lorsque l’on rencontre la fille de ses rêves ? À 11 ans, au moment du premier baiser ? À la naissance de son premier enfant peut-être ? Ou au crépuscule de sa vie… 


Ce que j'en ai pensé :

Grand bien m'a pris de me jeter à l'eau, à l'instar du protagoniste de cette histoire dans un des chapitres car j'y ai découvert une magnifique chef d'oeuvre !

Dix chapitres trimbalent le lecteur dans la vie de Bras, s'amusant avec lui à faire des retours dans le passé ou de grandes envolées vers le futur. A chacun de ces chapitres, une surprise attend le lecteur (en fait, non, c'est une surprise au premier chapitre puis au 2ème et ensuite on attend car on imagine ce qui va se passer (mais je ne peux pas t'en dire plus, cher toi, car tu sais que je déteste les spoils et que je ne peux décemment pas te faire ça !)).
Sache seulement que petit à petit on reconstitue une sorte de puzzle et que c'est efficacement jouissif car c'est intelligent !

J'ai aimé le pied-de-nez de la vie pour ce jeune nécrologue qu'est le protagoniste.

J'ai aimé le cynisme face à la vie, à ses aléas, l'amour, l'amitié, la famille et à la mort.

J'ai été éblouie par les images, les décors, les détails des vues citadines ou rurales. Moi qui rêve depuis 25 ans de visiter le Brésil, j'ai été fatalement happée par tous les détails de la vie Brésilienne.

Les personnages sont attachants, leurs histoires aussi !

Je ne connaissais pas du tout ces deux auteurs jumeaux mais je sais que je vais me renseigner un peu plus et suivre ce qu'ils ont fait ou vont faire.

Très belle découverte, cher toi !

Mini-mini bémol :
Parce que je peux, parfois, être tatillonne, j'ai du revenir 2 fois en arrière car au début du livre on parle de Anna puis on parle de Ana ... N'étant pas physionomiste (tu le sais, hein), il a fallu que je vérifie s'il s'agissait de la même femme ou non. Ce n'était, finalement, qu'une faute de frappe au début de livre mais ça m'a titillé, j'avoue.


Verdict :
Bien, bien, bien, très bien, très très bien !
Un album que l'on prend plaisir à lire et à relire. A revenir en arrière, à sauter des chapitres, à reconstituer la chronologie, à projeter ce qui va se passer, à se délecter devant les magnifiques images.
Un vrai bonheur et un superbe plaisir pour les yeux et la tête.

Note : 9.5/10


Bonus 1 :




Bonus 2 : les billets des vils tentateurs : BrizeJérôme, MangoMiss Alfie,  Mo', Noukette, OlivYaneck, Yvan

Bonus 3 : D'autres BD du mercredi ? Oui chez Mango 

lundi 27 mai 2013

"Le ventre de Paris" d'Émile Zola

Lu sur mon kindle
3ème tome de la série Rougon-Macquart
1873

Pourquoi avoir lu ce livre ?
J'aime Zola ... C'est, on peut le dire, un de mes auteurs préférés.
Je veux lire et/ou relire tous ses livres.

Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 
Résumé :
En souvenir du temps où il mourait de faim, Émile Zola jette Florent, jeune homme évade de Cayenne, au cœur des halles de Paris, celle "chaudière destinée à la digestion d'un peuple ". Recueilli par son frère et sa, belle-sœur Lisa - une fille Macquart - somptueuse charcutière de la rue Rambuteau, le proscrit s'adapte mal à ce monde démesuré de la victuaille qu'incarne cette femme, ce beau monstre d'égoïsme et d'opulence, symbole de la bourgeoisie commerçante. Dés lors, l'affrontement entre le gras, modèle de prospérité, et les maigres, crève-la-faim incontestablement coupables, est inévitable. Aujourd'hui, le ventre de Paris et sa débauche orgiaque fascinante se sont déplacés. Les marchands du Temple et leur voracité triomphante demeurent...

Ce que j'en ai pensé :
Avec Zola, je sais à quoi m'attendre, c'est un terrain connu : un réalisme impressionnant... (je dis ça alors que je ne sais pas vraiment ce à quoi ressemblait le 19ème siècle, mais quand on lit Zola, on a l'impression d'y être, de faire partie de la scène). 
Il y a beaucoup de descriptions (certains diront "trop") et d'ambiances. Ça doit être le seul auteur duquel j'admets qu'il puisse, pendant 3 pages décrire des étals de fruits et légumes, de poissons, de viandes... et que cela me passionne comme si ces choses finissaient par être réelles et diffuser une odeur qui chatouillerait mes narines pendant ma lecture ! 
Fort, il est fort cet Emile : c'est encore plus vivant qu'un tableau !

Et encore une fois, un lieu (ou un objet) prend les allures d'un monstre. Cet énorme ventre que représentent les Halles sonne comme les boutiques de tissu dans le Bonheur des Dames, l'assommoir ou la locomotive de Germinal ... j'aime ces métaphores.

Outre les descriptions, on a encore le droit à une histoire d'ambiance avec plusieurs cadres historiques : le début des Halles de Paris, le clivage entre les parisiens et les "banlieusards" (oui, à l'époque, Nanterre, c'était la grande banlieue où il y avait plein de champs et où cultivaient et vivaient les maraîchers), le coup d'Etat de 1851, les Bonapartistes, les républicains, le métier de commerçants, ...

J'aime ce roman mais il n'est pas mon préféré : si l'ambiance est là, s'il y a des éléments de l'intrigue qui m'ont plus (la rivalité entre Lisa, la charcutière, et La Normande, la poissonnière), je n'ai pas été sensible à l'histoire de Florent qui m'est apparu comme assez antipathique et "mou".

Verdict :
Un bon roman de Zola, même s'il ne s'agit pas de son meilleur. Il reste que c'est toujours agréable de plonger dans un livre de cette géniale série des Rougon-Macquart !

Note : 7.5/10



jeudi 23 mai 2013

"Et Nietzsche a pleuré" d'Irvin Zalom


Editions : Le Livre de Poche / Mars 2010
Date de publication originale : 1991
505 pages

Pourquoi avoir lu ce livre ?
Parce que mon amie Yo me l'a offert pour mon anniversaire, l'année dernière.

Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire la quatrième de couverture :


Venise, 1882. La belle et impétueuse Lou Salomé somme le Dr Breuer de rencontrer Friedrich Nietzsche. Encore inconnu du grand public, le philosophe traverse une crise profonde due à ses relations orageuses avec Lou Salomé et à l’échec de leur ménage à trois avec Paul Rée. Friedrich Nietzsche ou le désespoir d’un philosophe. Le Dr Breuer, l’un des fondateurs de la psychanalyse. Un pacte secret, orchestré par Lou Salomé, sous le regard du jeune Sigmund Freud. Tout est là pour une magistrale partie d’échecs entre un patient extraordinaire et son talentueux médecin. Mais qui est le maître ? Qui est l’élève ? Qui soigne qui ? Et c’est à une nouvelle naissance de la psychanalyse, intense, drôle et machiavélique, que nous convie Irvin Yalom.

Ce que j'en ai pensé :
Irvin Yalon est un psychiatre et ce livre est une belle façon de réinventer l'histoire du début de la psychanalyse en mettant en scène Nietzsche, Freud et Breuer. 

Le roman part très bien. On s'intéresse à ce que la jeune Lou veut faire : aider son ami, le dépressif Nietzsche en allant demander au docteur Breuer de l'avoir comme patient. Ensuite, on a envie de savoir comment le docteur va s'y prendre pour réussir à convaincre ce jeune philosophe de lui faire confiance et de s'ouvrir à lui et enfin, on prend plaisir à voir comment  les rôles s'inversent et de voir que c'est le docteur Breuer qui aura le droit à  une psychanalyse poussée.

J'ai aimé le livre et les échanges entre Nietzsche et Breuer jusqu'au 2/3 du livre et ensuite, j'ai eu l'impression de longueurs.

Je me suis attachée aux personnages et à leurs histoires et leurs problèmes respectifs. J'ai aimé comment aussi bien Nietzsche et Breuer travaillent pour aider l'autre. J'ai aimé leur pseudo-rapports en fin d'entretiens qui donnent leur propre point de vue sur la rencontre qui vient d'avoir lieu.

J'ai aimé le personnage de la pimpante Lou et je regrette qu'elle ne soit pas plus présente. Elle apporte de la fraîcheur dans ce monde de déprimés :)

Verdict :
Une lecture intéressante et agréable à lire même si la fin était un peu longue à venir.
J'ai vu qu'un film était sorti en 2007. J'hésite à le voir. L'as-tu vu cher toi ? Si oui, me le recommandes-tu ?

Note : 7.5/10

mercredi 22 mai 2013

BD du mercredi : "Notes. Saison 1, Born to be a larve - Juillet 2004-juillet 2005" de Boulet.

Editions : Delcourt, Collection Shampoing, 2008


Pourquoi avoir lu ce livre ?
Je voulais découvrir que je connais pas. Je n'ai lu que "La page blanche" dont il a écrit le scénario et qui a été illustré par Pénélope Bagieu. J'ai pris ce livre à la bibliothèque, un peu au hasard ...



Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrièmes de couverture : 
"Dans Notes, vous trouverez sous la forme de billets d'humeur de nombreuses réflexions sur la vie quotidienne, la musique, la télé, les auteurs de BD, la nourriture en général et la péremption en particulier, sur le sexe et un peu sur Mireille Matthieu. Toutes ces réflexions sortent de mes carnets à dessin et servaient à alimenter un blog ouvert en 2004 sous les conseils de mes amis (Ils trouvaient que – je cite – ‘ce serait quand même plus pratique que tes p+++ de mails groupés qui pèsent trois tonnes'). Ce premier tome est une compilation de la première année, les autres suivront sous peu."
Boulet

Ce que j'en ai pensé :
Je vais être très brève cette fois-ci car j'ai abandonné ma lecture après à peine 35 pages ...

Encore une fois, je suis passée à côté d'une adaptation en livre de billets de blog et je n'ai absolument pas accroché. 
J'ai juste pu entrevoir un peu le style de Boulet et cela ne m'a pas plu... Je n'ai pas aimé les dessins ni les strips en tant que tel.

Il faudrait que je persévère possiblement avec une histoire et non pas des notes comme celles-ci... Et dire qu'il y en a 7 tomes !!! Pas pour moi.

Verdict :
Abandon cinglant ...
Dis moi, cher toi, aurais-tu quelque chose à me proposer de lui à lire pour que je change potentiellement d'avis sur lui ?

Note : Abandon

Bonus : les autres BDs du mercredi (plus intéressantes que moi) chez Mango 

mardi 21 mai 2013

"Django Unchained" de Quentin Tarantino


Réalisateur : Quentin Tarantino
2h44

Pourquoi avoir vu ce film ?
Dans l'avion, alors que loulou dormait, j'ai pu voir ce film qui m'intriguait. J'avais entendu plusieurs critiques opposées : soit on adorait soit on détestait en somme... comme souvent avec les films de Quentin Tarantino...

Synopsis :

Interdit aux moins de 12 ans 

Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.

Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…



Ce que j'en ai pensé :
Je fais partie de ceux qui ont adoré.

Ce western, loin des westerns traditionnels, est jubilatoire.

Cette histoire d'un noir, esclave rebelle, qui va s'affranchir grâce à un chasseur de tête est intéressante car on voit rarement des noirs protagonistes de westerns (si ? j'en ai vu plusieurs (on adorait regarder des westerns avec mon papa)).
L'histoire en tant que telle, fort simple, laisse, néanmoins, place à de belles situations.

J'ai adoré le rôle de Jamie Foxx. Quel acteur ! J'étais sous le charme de sa façon de jouer.
J'ai aussi aimé le rôle de Léonardo Di Caprio en vendeur de lutteurs noirs, tout comme celui de Jamie Lee Jackson en employé quasi libre et rebelle et le très bon et sympathique chasseur de prime, Christoph Waltz). Belle brochette d'acteurs en somme !

J'ai aimé le défilement des situations et la surprise des scènes de violence qui sont arrivées pour moi au moment où je m'y attendais le moins. On m'avait prévenu que ça allait bastonner dans tous les sens mais je ne m'attendais pas du tout à ça ... et pourtant, c'est Tarantino quoi... naïve que je suis ! Quand ça commence, ça n'en finit plus et c'est de plus en plus sanguinolent et à la fin, à la limite risible mais bon, j'ai été très bon public.

C'est pêchu, c'est rythmé et le temps passe vraiment très vite sans que je sente la moindre longueur. C'est parfois du grand n'importe quoi, ça part en vrille et c'est déjanté mais c'est pas grave si on arrive à embarquer dedans !

Verdict :
Un bon moment, pour ma part.
Il vient de sortir en DVD en France et je vais l'acheter pour la fête des pères car je suis certaine que mon papa va adorer, lui aussi.

Bonus :

dimanche 19 mai 2013

Pitchounette et ses livres : "Mille-pattes" de Jean Gourounas



Pourquoi avoir lu ce livre ?
Y'a des coïncidences parfois. Je venais de commenter sur le billet de Jérôme en disant que ce livre plairait bien à la petite artiste que j'ai à la maison quand, en allant à la bibliothèque, j'ai vu ce livre trôner sur la tablette d'entrée de la bibliothèque. 

Aucune hésitation : nous l'avons pris dans notre petit sac.








Pour ceux qui, contrairement à moi, aiment lire les quatrième de couverture : Au début, un mille-pattes, c'est facile à dessiner : en gros ça ressemble à une saucisse ou à une banane.


Ce que pitchounette et maman en ont pensé :
Lu immédiatement dans la voiture (c'est papa qui conduisait, n'ayez crainte, je ne suis pas aussi dangereuse et tête en l'air que j'en ai l'air) et tout de suite approuvé !
Cette même soirée, on l'a lu au moins 5 ou 6 fois. A chaque fois que l'on tournait la dernière page, Pitchounette demandait à ce qu'on lui lise à nouveau !
Un mille-pattes, c'est facile à dessiner ... ou pas :)
Ce livre est drôle, coloré, ludique et créatif. Pitchounette a aimé les variations d'humeur du dessinateur qui cherche le meilleur résultat pour son dessin : trouver les bonnes couleurs, dessiner de belles pattes, varier la forme des pattes, trouver des solutions pour faire un mille-pattes sur une simple page ...



Bref, pitchounette a bien souri et elle adore.
Fatalement, cela lui a donné envie de dessiner un mille-patte à son tour ! 
Fatalement, je ne trouve plus le dessin mais dès qu'elle en fera un autre, je le publierai ici, cher toi !


Verdict :
Merci Jérôme pour cette suggestion car si je n'avais pas lu ton billet, je serai certainement passé à côté ...
Je suis obligée d'aller acheter le livre car Alissa a eu de la grosse peine lorsqu'il a fallu rapporter le livre à la bibliothèque  :)

vendredi 17 mai 2013

Film : Iron Man 3 de Shane Black



Réalisateur Shane Black

Pourquoi avoir vu ce film ?
Séance maman-bébé après une pause de 4 semaines. Quelque soit le film à l'affiche, je voulais y aller.

Synopsis :
Alors que le monde est menacé par un terroriste connu sous le nom du Mandarin, Tony Stark développe de nouvelles technologies pour son armure d'Iron Man. Lorsqu'il nargue le terroriste à la télévision, ce dernier détruit sa maison et Stark est envoyé à l'autre bout du pays, alors que tout le monde le croit mort. Avec l'aide d'un jeune garçon, il tente de réparer son armure tout en menant une enquête afin de repérer le Mandarin. Ses recherches le mènent vers Aldrich Kilian, un entrepreneur qu'il a humilié il y a plusieurs années.
Ce que j'en ai pensé :
Un bon moment de divertissement. Ça m'a fait du bien de retourner au cinéma et de voir un film sympa et pas prise de tête !
Oui c'est un gros blockbuster mais j'ai aimé. 
Y'a de l'action, des pointes d'humour, un chouette super héros, de belles scènes de combats et de beaux effets spéciaux.

Je trouve Robert Downey Jr très charismatique et charmant et le rôle de l'homme qui doute et est pris d'angoisses est mignon.
J'ai aimé sa relation avec le petit garçon.

Gwyneth Pattrow n'est pas toujours crédible mais cela ne m'a pas trop dérangé.

Les méchants sont vraiment méchants (ou presque) et les gentils super gentils (ou presque) et il y a plein d’invraisemblances. Vive Marvel !
Verdict :
Bref, c'était sympa.

Bonus : La bande annonce 


jeudi 16 mai 2013

De retour .... Prochainement en ligne ...

Me voici de retour et voici ce dont ce blog va parler dans les prochains jours :

Du côté roman :




Du côté des BD :






Du côté de pitchounette :







Reste a l'écoute, cher toi.
A très vite